Les dessous de l’image
Par Hervé Sentucq
Arès la prise de vue précédente, il ne faut pas s’endormir. Le reflet parfait sans un souffle de
vent ne résiste pas bien longtemps au réchauffement de l’air et à son
déplacement.
Aussitôt arrivé je réalise une première série. Puis une seconde puis une
dernière, ceci en 10 minutes. Mise en comparaison c’est la seconde qui
est la plus flatteuse. Sur l’instant il est difficile d’appréhender
l’optimal, tout évoluant subtilement. La sérénité émane de cette
composition de 145° de champ horizontal (et oui même si cela en a pas
l’air).